Barbara LEMMO GAUD.

Je me présente aux élections législatives de juin 2022 dans la circonscription du Chablais (74-5), avec le Mouvement Sabaudia. Mon suppléant est Daniel Magnin, maire de Maxilly-sur-Léman.

Originaire de Sallanches avec des racines sciézoises du fait de mon grand-père paternel, Je suis une travailleuse indépendante installée à Douvaine.

Je réside depuis plus d’un demi-siècle en Savoie et j’ai toujours savouré le bonheur d’y vivre.

Le Chablais est un territoire exceptionnel. Il offre beaucoup d’opportunités. Dès mon enfance, je me suis sentie concernée par le devenir de la Savoie.

Tout naturellement, je me suis impliquée à différents niveaux de la vie publique.

J’ai été conseillère municipale, suppléante aux élections législatives de 2017 et engagée dans différentes associations la concernant (ex-présidente de Génération Savoie). Je fais partie du MRS (Mouvement Région Savoie).

Aujourd’hui, je fais le constat qu’il est urgent de réagir pour faire cesser la dégradation que subit notre région et pour retrouver le plaisir d’y vivre.

Il est temps de se réapproprier la gestion de notre territoire singulier, afin de permettre à chaque habitant d’avoir accès à une qualité de vie à laquelle il a droit, qu’il s’agisse :

- de l’accès au logement à des prix décents,

- d’un coût de la vie raisonnable,

- du respect de l’environnement et de l’arrêt de constructions intensives, destructrices et irréfléchies,

- de la qualité de l’air,

- de l’accès aux soins de santé,

- de transports efficaces et économiques.

Respecter notre territoire, notre lieu de vie, c’est créer l’harmonie qui nous manque tant à présent. Et selon moi, cela n’est possible qu’avec une gestion de proximité.

Pour cela, j’aurai à cœur de travailler à cette transformation des institutions tant attendue par nos concitoyens : pour plus d’autonomie des territoires, pour plus de coopération et moins de centralisme, plus de démocratie et moins d’autoritarisme. Et ceci passe chez nous par le projet d’une Savoie réunie, libérée des multiples couches technocratiques propres au millefeuille administratif français.

Depuis 2017 déjà, plusieurs députés autonomistes, en compagnie des autres parlementaires du groupe Libertés et Territoire à l’assemblée nationale s’impliquent dans ces schémas fédéralistes. Je m’inscrirai dans leurs pas, car, plus que jamais, nous avons besoin de renforcer nos Libertés et nos Territoires !